Lakson International Développement Inc. est fier de conclure, en février 2020. l’ingénierie de Base pour la réalisation d’une centrale électrique à biomasse énergétique de 12 mégawatts destinée à être implantée, en Martinique.
Lakson introduit sa technologie innovante pour le conditionnement de plusieurs types de biomasse où elles sont réduites en une fine poudre sèche qui alimente ses brûleurs à suspension et systèmes de chaudières à vapeur surchauffée, lesquelles permettent d’entraîner un turbogénérateur.
La biomasse cultivée localement en Martinique, une fois récoltée et conditionnée, permet d’alimenter la centrale pendant l’année longue. La biomasse conditionnée livrée directement sur site réduit énormément les frais liés à la logistique de transport et d’entreposage tout en promouvant la main d’œuvre et l`économie circulaire locale, remplacent le pétrole et réduisant les gaz à effets de serres.
Lakson et ses associés se chargent dans les prochaines étapes la structuration financiers engineering de détails, la fourniture des équipements, la construction (EPCM) ainsi que les autres services permettant au client la réalisation du projet dans les plus brefs délais et d’une manière fiable, économique et écologique.
Au début de l’année 2019, l’équipe Lakson a commencé à étudier la
conversion de systèmes de chauffage de maisons (et potentiellement d’autres
immeubles résidentiels et commerciaux) du Grand Nord Canadien à l’usage de
biomasse forestière. Plus précisément, nous avons, comme projet pilote, étudié
les systèmes de chauffage installés dans la municipalité de Wemindji au Québec;
la biomasse forestière étant abondante dans la région tout comme dans le reste
du Canada.
Le but du projet est de remplacer les systèmes de chauffage à mazout existants,
pour ainsi en réduire les impacts négatifs aux niveaux environnemental, de la sécurité
et de la santé. Parmi ces impacts, le projet permettrait de réduire la
pollution atmosphérique et la contribution aux changements climatiques dues aux
émissions de gaz à effet de serre durant l’extraction, le transport et la
combustion du mazout; et il permettrait d’éliminer la contamination des sols, des
eaux souterraines et même des fondations des maisons dues à des fuites d’huiles.
Avant de faire la conversion à grande échelle des systèmes de chauffage résidentiel à Wemindji, Lakson a conduit une étude de faisabilité. Cette étude a débuté avec une visite à Wemindji, en mars 2019, afin de recueillir des données clés nécessaires à l’évaluation de la faisabilité du projet. L’étude a également inclus, entre autres, la visite de différents fabricants de systèmes de chauffage à biomasse, ainsi que l’évaluation préliminaire des options d’approvisionnement en biomasse et la conception préliminaire d’un système de distribution de la biomasse. L’étude de faisabilité, qui fut complétée en avril, démontre que le projet a un très grand potentiel en termes de bienfaits environnementaux ainsi qu’en termes d’économies pour la communauté.
Maisons à Wemindji
La prochaine étape de ce projet est l’implémentation du système pilote de chauffage à biomasse de Lakson dans une des maisons ayant été visitée. Pour cela, une équipe de Lakson se rendra à Wemindji afin d’installer l’unité, la démarrer et former les occupants de la maison à l’utiliser. L’équipe compilera certaines données durant le démarrage qui seront intégrées dans un rapport final permettant d’analyser l’unité pilote et tirer des conclusions sur son fonctionnement et son potentiel. De plus, cela permettra de valider ou infirmer les conclusions de l’étude de faisabilité, de formuler des recommandations sur le potentiel développement de ce type de projet à une grande échelle et d’élaborer les prochaines étapes à entreprendre afin de mener à bien ce projet.
Au cours des dernières années, chez Lakson, nous avons enquêté sur le
problème d’invasion de la sargasse dans les Caraïbes.
La sargasse est un type d’algue brune qui se forme dans l’océan
Atlantique et qui forme des radeaux qui ont récemment commencé à dériver vers
les îles des Caraïbes et les côtes du Mexique, causant de nombreuses
conséquences indésirables, telles que :
Pollution
physique, visuelle et olfactive des plages et sites touristiques, causant une
baisse d’activité touristique
Peut
provoquer, chez les personnes exposées, l’irritation des yeux, des voies
respiratoires et de la peau, des nausées, des vomissements et des migraines.
Nécessite
des opérations de collecte et de nettoyage coûteuses.
Perturbe
la navigation en mer et la pêche.
Détruit des
écosystèmes; tue des poissons et empêche la croissance des coraux.
Endommage
le sol et l’environnement lorsque stocké ou enfouis.
Le problème de sargasses envahissant les plages de Quintana Roo
Dans le cadre de nos études, nous avons examiné et analysé les différentes approches de stabilisation et de valorisation de la sargasse proposées par d’autres sociétés et nous avons mis au point notre propre solution innovante. Nos efforts nous ont conduit à une solution qui consiste à conditionner et valoriser la sargasse dès son arrivée sur terre afin de limiter sa décomposition et de réduire les émissions d’ammoniac, de méthane et de sulfure d’hydrogène, rendant ainsi notre solution plus écologique que l’approche conventionnelle qui consiste à faire la biodigestion de la sargasse. De plus, notre solution ne génère pratiquement aucun sous-produit résiduel et est beaucoup plus compacte, plus facile à entretenir et plus économique que la biodigestion. Plus récemment, en début juillet, l’équipe de Lakson s’est rendue dans la région mexicaine de Quintana Roo pour rencontrer divers industriels, représentants du gouvernement et universitaires, afin d’évaluer la situation actuelle de la sargasse et proposer notre solution et nos services. Notre équipe a reçu un retour positif et nous développons actuellement les phases initiales de plusieurs études et projets en collaboration avec des partenaires locaux tels qu’une université locale et d’autres acteurs clés au Mexique.
L’équipe Lakson présentant sa technologie innovante lors d’une conférence avec des acteurs locaux de Quintana Roo dont une université de la région
En septembre dernier, nous avions
annoncé un projet en cours de développement visant à mettre en place une usine
pilote de 10 m3/h pour le traitement des effluents d’une usine de production de
maotai (boisson spiritueuse) en Chine. Depuis, Lakson a acheté et organisé le
transport des équipements de traitement sur le site et a envoyé, à la début
octobre, une équipe, dans la ville de Maotai en Chine, pour construire et
mettre en service l’usine pilote.
Les travaux d’installation ont été
achevés sans incident majeur, tandis que les activités de démarrage ont été
ponctuées par des problèmes locaux inhérents au site, qui ont finalement été
résolus par notre équipe sur site. Tous les critères relatifs à la qualité de
l’effluent, après son traitement dans notre usine pilote, ont été aisément
respectés.
Notre client, étant satisfait du
résultat, a manifesté son intérêt pour une usine de deuxième génération pour le
traitement des effluents de maotai; une usine qui serait automatisée, plus
compacte et améliorée par rapport à la version pilote.
En fait, notre client nous a également
demandé de développer de nouvelles installations de traitement de plus grandes
capacités (allant de 10 m3/h à 40 m3/h), ainsi qu’une installation mobile et
extrêmement compacte pouvant être installée dans deux conteneurs et pouvant traiter
jusqu’à 6 m3/h d’effluents.
Chez Lakson, ces nouveaux projets nous enthousiasment et nous sommes confiants de pouvoir les mener à bien et ainsi aider les producteurs de maotai à traiter leurs effluents de manière efficace et économique tout en réduisant leur empreinte environnementale.
Depuis le récent achat de notre BCS 2000
installé en Chine, de notre client initial (Wuhan) à un client de la ville de Nanning,
Lakson a fourni support et assistance à ces deux entrepreneurs afin d’implémenter
notre technologie et l’adapter aux besoins de notre nouveau client. En effet, contrairement
à notre client original qui utilisait le BCS 2000 pour traiter des boues
municipales et les valoriser en produisant des fertilisants, le nouveau
utilisateur du BCS 2000 désire traiter des déchets forestiers sous forme d’écorce;
un changement dans la matière première qui nécessitait certains ajustements afin
d’assurer le bon fonctionnement de notre système.
Après avoir réalisé les ajustements principaux,
notre équipe, avec l’aide du nouveau client, a conduit des tests de performance
sur le BCS 2000 en utilisant la nouvelle matière première. Ainsi, le BCS 2000 a
été testé avec de l’écorce de bois humide (à environ 60% d’humidité) et a réussi
à traiter plus de deux Tonnes par heure de cette biomasse tout en réduisant son
humidité jusqu’à environ 25%. De plus, les tests ont démontrés que la machine
était en marche de manière continuelle pour la durée de temps requise sans qu’il
n’y ait de défaillance. Ces résultats, ayant atteint et maintenu la capacité
cible du système, sont plus que satisfaisants. À la demande du client, des
améliorations sont présentement en cours d’intégration afin que la machine
atteigne une performance encore meilleure et une capacité jusqu’à 50% plus
élevée que la capacité actuelle.
En parallèle, Lakson est présentement en cours de processus de développement du BCS 3000 qui aura une capacité allant de trois à cinq Tonnes par heure dépendamment des conditions de la matière à l’entrée et la sortie de notre système. Avec cette nouvelle génération de BCS qui pointe à l’horizon, nous profitons de cette opportunité pour optimiser la machine existante et en tirer de précieuses leçons qui seront implémentées dans le design de notre nouveau BCS, afin qu’il atteigne de hauts niveaux de performance. Dans cette perspective, les résultats des tests récemment effectués sur le BCS 2000 sont très prometteurs et nous sommes extrêmement excités par nos projets en développement.
Au cours des dernier mois, notre équipe, chez Lakson, en collaboration avec nos partenaires, avons travaillé à développer notre propre procédé et propriété intellectuelle, pour le traitement des eaux usées de l’industrie des spiritueux. Ce projet a démarré lorsque notre client, un acteur important de cette industrie en Chine, nous a approché après plusieurs tentatives infructueuses de traiter et recycler ces effluents.
Cela a mené notre équipe de projet à se consacrer presque entièrement au développement d’une solution innovante à ce problème, qui nous a ensuite amené à proposer nos services sous la forme d’une usine de traitement pilote de 10 m3/h permettant de purifier ces effluents pour les rendre recyclables. À ce point-ci du projet, notre équipe a complété le design de l’usine pilote, ainsi que la phase de fourniture des principaux équipements du procédé. Le projet est actuellement dans sa phase d’exécution.
Cela fait déjà plus d’une année que nous avons installé notre technologie brevetée « Biomass Conditioning System » de 2e génération , le BCS 2000 , à l’usine de traitement des boues municipales de notre client, près de Wuhan, en Chine. D’ailleurs, nous sommes fiers d’annoncer qu’après plusieurs mois d’optimisation, notre système peut maintenant satisfaire et même dépasser sa capacité visée pour le traitement de boues municipales. Le produit qui en résulte est une poudre fine et sèche qui est ensuite transformée en granulés ou utilisée sous sa forme intermédiaire comme bio-solide/fertilisant organique, dépendamment de la composition de la matière première et des exigences du produit final.
Avec ce succès, de nouvelles opportunités se sont ouvertes à nous en Chine, et ailleurs, alors que nous développons de nouveaux projets pour le traitement des boues municipales, des boues industrielles, des déchets de bois et des déchets municipaux, à travers des procédés qui incluent nos systèmes émergents de conditionnement de la biomasse: le BCS 3000, la dernière génération BCS qui permet de traiter la biomasse à des capacités encore plus hautes; et le BCS M500, notre unité mobile qui entre dans un conteneur standard de 40 pieds et qui convient à des opérations de traitement périodiques réalisées sur différents sites et usines.
Figure 1 – L’Usine de traitement des boues municipales de notre client, près de Wuhan en Chine
Figure 2 – Le BCS 2000 en action à l’usine en question
Figure 3 – Granulés de bio-solides/fertilisants organiques faits à partir de boues conditionnées
Depuis plusieurs mois, Développement International Lakson travaille au développement d’un projet de réhabilitation du système de chauffage de galeries à biomasse d’une mine d’or de la région de la Baie-James, afin d’améliorer sa fiabilité, son efficacité et sa rentabilité. La première phase de développement de ce projet a consisté à conduire des tests de combustion sur les générateurs d’air chaud du système de chauffage à biomasse et à produire un rapport de recommendations pour les phases ultérieures du projet. La première photo ci-bas montre le système de chauffage à biomasse tandis que la seconde montre l’équipe Lakson sur le site de la mine Casa Berardi durant les tests effectués en mai 2018.
Développement International Lakson a le plaisir d’annoncer son plus récent succès : l’introduction de sa technologie émergente de troisième génération, le système intégré BCS, dans la valorisation énergétique de déchets municipaux et agricoles ainsi que la production de biocombustible et de fertilisants organiques de haute qualité dans le cadre de deux projets de valorisation des déchets, pour les villes de Constantine et Sétif, en Algérie.
D’ailleurs, il y a eu lieu, le 18 avril dernier, la rencontre et signature du protocole d’entente pour la réalisation de ces projets, rencontre tenue à Alger en présence de Madame Fatma Zohra Zerouati, Ministre de l’Environnement et des Énergies Renouvelables; Madame Patricia McCullagh, ambassadrice du Canada en Algérie; Monsieur Mohamed Karim Ouamane, directeur général de l’Agence Nationale des Déchets; Monsieur Fourat Mahdjoub, P-DG du Groupe DIVINDUS; Monsieur Simo Lakhmiri, président de Développement International Lakson, Monsieur Alain Brasseur, Président d’OEM Sherbrooke; Monsieur Smail Ouicher, Président de Global Green Links; ainsi que d’autres éminentes personnalités, parmi lesquels des représentants du Ministère de l’Industrie et des Mines et du Ministère de l’Intérieur, des Collectivités Locales, et de l’Aménagement du Territoire.
Il est entendu que les activités d’exécution du projet démarreront en janvier 2019 avec une première tranche de réalisation en juillet 2019 suivie de quelques importants jalons de réalisation jusqu’à la fin 2019; et par la construction et le démarrage de la centrale électrique à base de déchets triés et conditionnés pour fin 2020.
Une publication du 19 avril 2018 du quotidien Algérie Presse Service fait état de cette même nouvelle.
Durant les derniers mois, Développement International Lakson a pris part à plusieurs rencontres, tenues en sol ivoirien, avec le Secrétariat National au Renforcement des Capacités dans le cadre d’une mission d’Appui à l’évaluation des besoins pour le renforcement des capacités des collectivités territoriales. Plus précisément, huit projets pilotes de collecte et analyse de données ont été réalisées afin d’évaluer les capacités de ces collectivités et énoncer des recommendations.
C’est dans ce contexte que Développement International Lakson a proposé de réaliser divers projets de développement permettant de renforcer l’émergence économique et sociale de ces communautés pour l’an 2020.
Les projets en question sont relatifs au secteur agroalimentaire et consistent à faire la valorisation de divers produits agricoles bruts, tels que la racine de manioc, la fève de cacao, la noix de coco, la noix de cajou et le régime de palme; afin de les transformer et faire la production de produits dérivés ayant une plus grande valeur sur le marché. À ces projets, s’ajoute un projet de systèmes aquaponiques permettant de rallier pisciculture et agriculture.
Ces projets sont actuellement en développement et touchent à chacune des huit communautés visées.
Rencontre avec le Secrétaire National au Renforcement des Capacités